mardi 26 novembre 2013

Prostipatétiputophobistes.

Ceci est un flache survolable, use your brain mouse pointer !!!

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J'ai retourné cette question d'une infinie complexité dans tous les sens, à coups d'articles & émissions alternativement pertinents ou ultradébiles, sans jamais réussir à sortir totalement du camp des "ni,ni" (malgré une nette préférence pour un des "ni"), et je me suis dit qu'à défaut de réussir clairement à m'épancher sur le sujet sans enfoncer moult portes déjà ouvertes telles que l'idiotie infinie de cette vidéo ou de cet article d'un magazine pourtant dit "féminisse" (les copines lilloises de g'enrage en parlent très bien ici), mais aussi la violence intense de ce tumbleur, ou l'abjection de cet appel des 20 connards, ou bien encore la grande intelligence de cet article ou celui-ci, j'en passe (des dizaines!) et en viens à simplement revisiter ce dessin de Caran d'Ache.

Le voici en version paflache pour les intéressé(e)s!

Et, dites, les moufs et autres, je sais qu'on est sur internet et tout, mais si la section comm's pouvait ne pas se finir comme sur le dessin, ça m'arrangerait. Bisous.

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Maintenant, deux petits bonus:

(Le terme de "prostipatétipute" me vient de chez Zél, un long-time-no-seen lutécien que je big uppe par la présente.)

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EDIT TARDIF : Silver a posté ça, qu'il me semble intéressant de lire.

3 commentaires:

  1. Faut-il condanner l'exploitant (il y en a pas toujours un derrière je suppose) ou celui qui accepte l'exploitation? En tout cas donner une amende n'apporte rien. Ceux qui ont de l'argent pourront toujours. Alors qu'est ce que ça apporte. Rien. C'est de la com pour la masse.
    Le mieux ne serait pas clairement de refuser tout type d'exploitation? (venant de l'état bien sûr - le maître tout puissant, la connotation ne sera pas la même)

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  2. Pour moi le problème n'est pas la prostitution dans ce qu'elle est par essence mais ce qu'elle est dans la réalité. La prostitution, tant masculine que féminine, si légalisée, bien encadrée socialement acceptée pourrait être quelque chose de bien et dans une certaine mesure, très utile, notamment en tant que réponse non-brutale à certaines détresses potentiellement dangereuses. Un premier pas: légaliser les "maisons closes" pour rendre à terme l'esclavagisme sexuel obsolète, améliorer considérablement les conditions de travail des hommes et des femmes prostitués, la sécurité, leur rémunération. Dans un monde parfait, on pourrait dire, homme ou femme, que l'on va "aux putes", et "fils de pute" ne serait pas plus insultant que "fils de facteur". Problème, les mentalités sont à des années lumières d'une évolution dans ce sens, et pour l'instant ce ne sont que des femmes dépouillées de leur dignité par des hommes... Et des gens qui ne se posent pas les vraies questions.

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  3. Trop bien, ça me rappelle les gags Caran d’Ache :)

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