mardi 10 décembre 2019

Princess Bigfoot & Blue Lives Kitty.

Et y'a aussi ce malphotographié d'un dessin que j'ai fait pour une tombola antirép (comme un téléthon mais des frais de justice de militant.e.s).

Sinon, les gouinosaures nostalgiques en mal de reprézentativity vont se jeter sur le nouveau L Word qui vient de sortir:

figurez-vous que pendant qu'on stagnait bien dans nos vies de surdiplomé.e.s mégaprécaires,

ces moufs sont devenues encore plus riches (si, si).

Franch'ment ça a l'air coul les states.

jeudi 14 novembre 2019

Cela va sûrement (beaucoup) t'intéresser.

Je t'avais averti que cela allait sûrement (beaucoup) t'intéresser. Oldie (&repost) but goldie:

Et le premier commentaire de la vidéo, "This is why girls go to the toilet in groups. It's where we have rap battles."

Si tu comprends pas ce rap, y'a des subtitles que tu peux activer.

Voilà salut bisous, period rage sur vous, bois mes règles.

Ahwé, y'a aussi cet article sur la précarité menstruelle en prison et, vaguement en rapport, ce livre qui vient de sortir et que je lis en ce moment, clique dessus:

(Ah et y'a ça sur le lien entre chiasse et règles.)

samedi 2 novembre 2019

Retrouver les amours d'antan.

Il faut que tu lises lesdits ouinouins sinon c'est moins rigolo, déjà que c'est moyen rigolo. Pis après, le nouveau et tant attendu clip de Petra my love <3 .

mercredi 10 avril 2019

Coucou salut tu vas bien?

Clique l'image pour donner tous ces sous qui t'encombrent! Gros bisous, tu sens bon.

Bonus, un gribouillon d'agenda sur le lent retour printanier de ma libido:

mardi 9 avril 2019

**** écritures inventées ****

Tracés obsessionnels, au Rotring puis à la plume, inspirés de Googlisages de plein de langues, y compris le Klingon.

(c) Rachat Symbolique.

Good riddance, bon débarras.

Si tu n'es pas content.e de ma décision, je file la thune à la Manif pour Tous, sois averti.e.

Je t'informe mais ne te demande pas tes lumières, car tu ne nous as pas défendu.e.s dans ce contexte merdique.

Et toujours, le communiqué du Centre:

A DIFFUSER !

Situation alarmante du centre Lesbien, Gay, Bi*e, Trans, Queer Intersexe et Féministe des Haut de France :

Le J’en Suis J’y Reste.

Suite à des coupes de subventions par l’ARS ( Agence régionale de santé) durant l’année 2017 puis durant l’année 2018, pour des raisons que nous pouvons qualifier de politiques et qui ont permis de mettre avant une mauvaise fois flagrante de cet organisme et son mépris des causes LGBTQI+ telles que la lutte contre le VIH, le J’en Suis J’Y Reste, se trouve aujourd’hui, dans une situation financière très alarmante.

Habituellement la subvention de l’ARS, nous servait, en partie, à payer nos loyers. En effet cette subvention, permettait de nous acquitter de nos frais de fonctionnement (c’est-à-dire les frais d’intendance qui font fonctionner le lieu sur la durée). Malheureusement, aujourd’hui c’est un fait établit, les subventions allouées aux associations prennent en charge les frais d’organisation d’actions ponctuelles (comme l’organisation d’un évènement pour une date symbolique par exemple). Mais elles ne permettent plus de pérenniser l’activité d’une association sur le long terme. Elles sont très insuffisantes et autorisent, pour notre cas, les pouvoirs publics à se donner une caution « Gay friendly ». On appelle ce phénomène : le pinkwashing. Mais alors que notre image et nos identités sont instrumentalisées, nous suffoquons et les lieux qui nous permettent de respirer, sont menacés de disparaitre. Le centre LGBTQIF du J’en Suis J’Y Reste, existe depuis plus de 20 ans, c’est un des premiers lieux LGBTQIA+ en France, il fait aujourd’hui partie de l’histoire de Lille et plus particulièrement du quartier populaire de Moulins. Au fil des années, ce lieu à contribuer activement à la cohabitation bienveillante de personnes très différentes. L’espace que propose cet endroit, permet à des personnes qui subissent des violences systémiques au quotidien d’être visibles, soutenues, entendues. Ce centre possède de multiples composantes (associations, collectifs, commissions) qui œuvrent à différents objectifs : l’accueil des personnes LGBTQIA+ dans leurs diversités (âge, nationalité, milieu social…), tout en en prenant en compte les spécificités de corps, d’identité, de vécut, et de traitement par la société ; la lutte contre les discriminations, l’exclusion et l’isolement liés à l’orientation sexuelle et aux identités de genres ; la prévention pour la promotion du sexe sans risque, en informant et qui agissant activement contre les MST,IST, les hépatites virales et bien sur, à la fin du VIH et du sida ; l’ accompagnement de celles et ceux qui le souhaite dans leurs démarches administratives par exemple pour des changements d’état civil ou pour l’accès aux soins ; l’orientation des personnes LGBTQI+ de nationalité étrangère sollicitant un titre de séjour en France, la diffusion de brochures propres à nos expériences de vie particulières, la mise en place d’un réseau de solidarités lors d’urgences sociales comme l’hébergement de personnes à la rue, du fait qu’elles soient LGBTQIA+. Ce centre s’inscrit certes dans une démarche militante mais il est aussi un lieu de ressourcement, de convivialité et d’expression avec des moments qui nous permettent d’évoluer dans un cadre ou nous nous sentons à l’aise et en sécurité. Régulièrement il propose par exemple : des ateliers d’écritures, des projections, des scènes ouvertes, des soupes à prix libre, des expositions, des bars, des brunchs …

Aujourd’hui, nous avons 10 loyers en retard. Cela représente 7000 euros. Notre structure est menacée de fermer. Notre propriétaire à une certaine compréhension pour nos loyers impayés, mais la pression de la gentrification et l’hostilité dont fait preuve notre voisinage immédiat à notre égard, nous met de plus en plus sur la sellette. Cela fait maintenant un an que nous tentons de changer la conjoncture, en organisant des soirées et des festivals, en faisant des appels à dons, en prenant la parole publiquement lors de divers manifestations… mais il faut nous rendre à l’évidence, nous informons aujourd’hui de la situation inquiétante du centre LGBTQIF+, des Hauts de France, car nous avons besoins de soutiens extérieurs. Nous ne pouvons pas imaginer que le J’en Suis J’y Reste, ferme. Se résoudre à cette possibilité est pour nous insoutenable. Nous faisons donc un appel large à nos camarades LGBTQIA+, nos allié*es, à chacun et chacune et aux autres pour ne pas à avoir à supporter l’insupportable.

N’hésitez à nous écrire sur notre mail : centrelgbt@jensuisjyreste.org

A venir à notre CA mensuel le premier lundi du mois à 20h, au 19 rue de Condé, Lille, France

A nous envoyer un don.

lundi 8 avril 2019

Contre-Soirées.

Le site de Tanx.

Et une chanson de Super Petra <3 à propos des comme-si-de-rien-n'était:

Now, je vous parle du lieu qui galère, voici un petit communiqué pour que vous ayez une idée de la situation (et que vous mettiez la main au porte-monnaie).

A DIFFUSER !

Situation alarmante du centre Lesbien, Gay, Bi*e, Trans, Queer Intersexe et Féministe des Haut de France :

Le J’en Suis J’y Reste.

Suite à des coupes de subventions par l’ARS ( Agence régionale de santé) durant l’année 2017 puis durant l’année 2018, pour des raisons que nous pouvons qualifier de politiques et qui ont permis de mettre avant une mauvaise fois flagrante de cet organisme et son mépris des causes LGBTQI+ telles que la lutte contre le VIH, le J’en Suis J’Y Reste, se trouve aujourd’hui, dans une situation financière très alarmante.

Habituellement la subvention de l’ARS, nous servait, en partie, à payer nos loyers. En effet cette subvention, permettait de nous acquitter de nos frais de fonctionnement (c’est-à-dire les frais d’intendance qui font fonctionner le lieu sur la durée). Malheureusement, aujourd’hui c’est un fait établit, les subventions allouées aux associations prennent en charge les frais d’organisation d’actions ponctuelles (comme l’organisation d’un évènement pour une date symbolique par exemple). Mais elles ne permettent plus de pérenniser l’activité d’une association sur le long terme. Elles sont très insuffisantes et autorisent, pour notre cas, les pouvoirs publics à se donner une caution « Gay friendly ». On appelle ce phénomène : le pinkwashing. Mais alors que notre image et nos identités sont instrumentalisées, nous suffoquons et les lieux qui nous permettent de respirer, sont menacés de disparaitre. Le centre LGBTQIF du J’en Suis J’Y Reste, existe depuis plus de 20 ans, c’est un des premiers lieux LGBTQIA+ en France, il fait aujourd’hui partie de l’histoire de Lille et plus particulièrement du quartier populaire de Moulins. Au fil des années, ce lieu à contribuer activement à la cohabitation bienveillante de personnes très différentes. L’espace que propose cet endroit, permet à des personnes qui subissent des violences systémiques au quotidien d’être visibles, soutenues, entendues. Ce centre possède de multiples composantes (associations, collectifs, commissions) qui œuvrent à différents objectifs : l’accueil des personnes LGBTQIA+ dans leurs diversités (âge, nationalité, milieu social…), tout en en prenant en compte les spécificités de corps, d’identité, de vécut, et de traitement par la société ; la lutte contre les discriminations, l’exclusion et l’isolement liés à l’orientation sexuelle et aux identités de genres ; la prévention pour la promotion du sexe sans risque, en informant et qui agissant activement contre les MST,IST, les hépatites virales et bien sur, à la fin du VIH et du sida ; l’ accompagnement de celles et ceux qui le souhaite dans leurs démarches administratives par exemple pour des changements d’état civil ou pour l’accès aux soins ; l’orientation des personnes LGBTQI+ de nationalité étrangère sollicitant un titre de séjour en France, la diffusion de brochures propres à nos expériences de vie particulières, la mise en place d’un réseau de solidarités lors d’urgences sociales comme l’hébergement de personnes à la rue, du fait qu’elles soient LGBTQIA+. Ce centre s’inscrit certes dans une démarche militante mais il est aussi un lieu de ressourcement, de convivialité et d’expression avec des moments qui nous permettent d’évoluer dans un cadre ou nous nous sentons à l’aise et en sécurité. Régulièrement il propose par exemple : des ateliers d’écritures, des projections, des scènes ouvertes, des soupes à prix libre, des expositions, des bars, des brunchs …

Aujourd’hui, nous avons 10 loyers en retard. Cela représente 7000 euros. Notre structure est menacée de fermer. Notre propriétaire à une certaine compréhension pour nos loyers impayés, mais la pression de la gentrification et l’hostilité dont fait preuve notre voisinage immédiat à notre égard, nous met de plus en plus sur la sellette. Cela fait maintenant un an que nous tentons de changer la conjoncture, en organisant des soirées et des festivals, en faisant des appels à dons, en prenant la parole publiquement lors de divers manifestations… mais il faut nous rendre à l’évidence, nous informons aujourd’hui de la situation inquiétante du centre LGBTQIF+, des Hauts de France, car nous avons besoins de soutiens extérieurs. Nous ne pouvons pas imaginer que le J’en Suis J’y Reste, ferme. Se résoudre à cette possibilité est pour nous insoutenable. Nous faisons donc un appel large à nos camarades LGBTQIA+, nos allié*es, à chacun et chacune et aux autres pour ne pas à avoir à supporter l’insupportable.

N’hésitez à nous écrire sur notre mail : centrelgbt@jensuisjyreste.org

A venir à notre CA mensuel le premier lundi du mois à 20h, au 19 rue de Condé, Lille, France

A nous envoyer un don.

Et j'ai trouvé ça sur FB, savez-vous qui a dessiné cette merveille?

mardi 2 avril 2019

vendredi 29 mars 2019

Hommage à Agnès Varda.

Also, il y a les deux volets de "Varda par Agnès" sur le site d'Arte, je vous les recommande chaudement, comme presque toute sa filmo, sauf ptêtre celui sur JR, encore que Varda le rendrait presque sympathique, bref, bon visionnage. Et bonne écoute, itou. Et bonne lecture.

Et toujours, ce weekend, les 23h de la BD, entre autres événements fantastiques.

mercredi 27 mars 2019

Yo Ballaz, le retour (du printemps).

(J'ai retrouvé cette chanson en tapant boom boom eyo dans YouTube. Si l'on fait abstraction des paroles un peu olé olé, ce clip est rempli de féminimse : y'a une fâmarbitre, appelez-moi quand vous verrez ça en NBA.)

Parlant de retour du printemps, je vais participer ce weekend aux 23h de la bd pour le changement d'heure: c'est un truc oùsque tu postes 24 pages en... 23h. J'espère trouver le temps et l'énergie de te mettre une moule en streetball, ceci sans me blesser.

Mais qui est Muggsy Bogues???

Une simple constatation.

J'adore la carte à gratter de solderie kitsch à paillettes.

lundi 25 mars 2019

Karaoké : la chanson qui soigne.

D'abord, play,

then, scroll. Pouf pouf je viens d'inventer le blog-karaoké.

Dessiné presqu'aussi vite que la toune.

Et merci à David Byrne de m'avoir permis de survivre à une shitstorm.

Bonus:

Wopuré Chui Naz.